Faire un running à Montréal en mars...

... C'est magique.

Déjà il fait entre -17° quand t'as pas de bol et +1° quand vraiment t'es chanceux, et là pose toi des questions. Ensuite, il te faudra affronter la sloche, c'est-à-dire les millions de mètres cubes de neige qui fondent et qui deviennent comme des minis lacs à traverser. Sauf que des fois, quand t'arrives un peu vite et que la luminosité n'est pas au top de sa forme, tu plonges directement dans le-dit lac. Et big, tu te retrouves avec la basket et la chaussette trempée, miam miam.

Mais bref, ce qu'il y a de génial, c'est l'absence des pavés Lillois. Du bithume, rien que du bitume dans toute la ville et des millions de petites rues dans lesquelles tourner et retourner. J'ai découvert un paquet de jolis coins, de maisons étranges, de balançoires isolées... Et j'ai fait la course avec des écureuils. Le must, c'est traverser Sherbrooke du Nord au Sud (c'est-à-dire d'est en ouest par rapport à Saint-Laurent mais je voudrais pas vous perdre) aux alentours de 19h pour profiter du coucher du soleil derrière les buildings du centre ville. Pas d'odeur de pollution, rien.

Je testerai les parcs quand le printemps sera là pour de vrai. Et je vous raconterai. Mais pas tout de suite hein.

Comments

[coco]

Trop bien rédigé on s'y croirai , on attend de voir toutes tes photos , et te faire plein de bisous .